Oyé intrépide aventurier approches toi donc....

Ainsi valeureux aventurier tu souhaites être entretenu de ma longue histoire……

Soit alors installes toi confortablement au coin du feu, mais avant de t’échouer dans ce fauteuil prend garde au chat qui y sommeille : il n’est pas joueur et n’aime pas être dérangé.
Hors donc je vais te conter les événements qui m’on amenés à devenir le « légendeur ».
Jadis, alors que l’herbe n’était pas du sable et que l’on pouvait encore se balader à Ascalon avec autre chose qu’une armure sur le dos, je n’étais qu’un modeste homme du peuple.
Voulant goûter à la bière de nain (qui était déjà fortement réputé à cette époque) , je décidait de m’engager dans l’avant-garde, ce qui constituait alors le seul moyen de « voir du pays » et de se rapprocher des montagnes naines.
Le sergent recruteur exigea de connaître les quêtes que j’avais à mon actif : l’avant-garde étant une unité d’élite une sélection était effectuée.
Je lui présentais alors mes quêtes :
- Tout d’abord j’avais aidé un voisin à se débarrasser des vers de terre géants qui infestaient son champ
- De plus j’étais devenu un redoutable chasseur de champignons et ma renommée s’étendait sur plusieurs hameaux.
- Enfin j’avais participé aux cotés d’un groupe de vaillants aventuriers à une collecte de plumes pour un collectionneur qui garantissait une forte récompense à qui lui ramènerait une magnifique plume. Cette plume nous l’avions repérés sur le postérieur d’un moa sauvage. Mais nous fûmes perfidement pris à parti par ce dernier une fois la plume en notre possession. Profitant lâchement de sa supériorité numérique le moa prenait l’avantage sur notre vaillant groupe. Prenant notre courage à 2 mains nous prîmes la fuite (il vaut mieux mourir de vieillesse dans son lit que sous 20cm de boue, piétiné par un moa).

Le sergent paru réfléchir puis dit :
« - Bon si tu connais aussi bien les champignons que tu le dis, on te prend, j’en ait marre de choper la chiasse à chaque fois qu’un gugusse nous fait goûter ce qu’il à trouvé sur le chemin du retour »

Aussitôt je fut affecté à une patrouille en territoire charg lorsque je revint le sergent s’étonna de ce que je portait des traces de botes sur mon uniforme. Mais après tout ce n’était pas de ma faute si avec mon caillou dans la botte je ne suivais la patrouille qu’avec un peu de retard, et c’était encore moins de ma faute si une centaine de Chargs avaient surgis au devant de la patrouille.
Tous les évènements qui suivaient étaient par contre très prévisibles : le mouvement de reflux de la patrouille face à la meute de chargs, la surprise de la jeune recrue trop loin pour voire ce qui se passait devant et happé dans le flot des soldats en fuite, déséquilibrée par sa mauvaise botte et bientôt piétinée par les derniers soldats et leurs poursuivants.
Après cette première mésaventure on préféra m’affecter aux cuisines après tout c’est bien pour ça que l’on m’avait engagé. Mais lorsque l’on se rendit compte que les couteaux de cuisine étaient encore trop coupants pour moi et que mon sang donnait un mauvais goût aux patates, on préféra me confier la tâche de scribe (laissé vacante par une sombre histoire de vengeance de moa envers le précédent scribe qui affectionnait les plumes dudit animal). Bien que le sergent redouta que cette affectation réveille un traumatisme en moi à cause de la quête de la plume il n’en fût rien et je put participer (enfin de pas trop près quand même) aux vaillants combats que livra l’avant-garde.
Mais assé parlé de moi on m’a fait comprendre que cette guilde manquait d’un scribe…
N’avez-vous point quelques aventures à enluminer ?

MDR!!!!!

Ca ma fait delire on se croiré au Moyen Age!!!

A+ le sgars!